L’aventure des verbes séparables en allemand
Il était une fois un jeune homme nommé Tom qui décida d’apprendre l’allemand. Un jour, il trouva un vieux livre de grammaire à la bibliothèque. Tout excité, il le ramena chez lui et commença à le lire. Il tomba rapidement sur les verbes séparables et voulut découvrir comment les utiliser correctement.
Première trouvaille : « abholen »
Tom lut la phrase : « Ich werde dich vom Bahnhof abholen » (Je viendrai te chercher à la gare). Il se souvint de la méthode qu’il avait apprise :
- Identifier le préfixe « ab » et le verbe « holen »
- Vérifier le sens : « ab » (loin) + « holen » (chercher) = « abholen » (venir chercher)
- Vérifier dans le dictionnaire qu' »abholen » est un verbe séparable
- Appliquer au présent et au prétérit :
- Présent : « Ich hole dich vom Bahnhof ab »
- Prétérit : « Ich holte dich vom Bahnhof ab »
Tom était ravi d’avoir correctement utilisé son premier verbe séparable.
Deuxième trouvaille : « verstehen »
Le lendemain, Tom lut une autre phrase : « Ich verstehe dich » (Je te comprends). Il répéta les étapes pour s’assurer de tout faire correctement :
- Identifier le préfixe « ver » et le verbe « stehen »
- Vérifier le sens : « ver » + « stehen » (se tenir) = « verstehen » (comprendre)
- Vérifier dans le dictionnaire que « verstehen » est un verbe inséparable
- Appliquer pour les verbes inséparables :
- Présent : « Ich verstehe dich »
- Parfait : « Ich habe dich verstanden »
Tom était à nouveau content d’avoir tout fait comme il fallait.
Après d’autres découvertes avec « aufstehen » (se lever) et « bestellen » (commander), Tom était fier de pouvoir identifier et utiliser correctement chaque verbe composé.
En conclusion, Tom passa une semaine passionnante à en apprendre beaucoup sur les verbes séparables et inséparables. Chaque nouvelle découverte le rendait plus confiant et heureux de mieux comprendre l’allemand. Ses aventures grammaticales étaient non seulement amusantes mais l’aidaient aussi à mieux maîtriser la langue.
C’est ainsi que Tom poursuivit son voyage à travers la langue allemande, toujours prêt à découvrir et maîtriser de nouveaux verbes composés. Suivez sa formule simple pour reconnaître facilement les verbes séparables :
Préfixe + Verbe = Changement de sens
Le préfixe se détache et se place à la fin au présent et au prétérit.
Cette histoire illustre de façon attrayante la logique et l’application des verbes séparables, donnant envie d’explorer plus avant les subtilités de la grammaire allemande de manière ludique. Lancez-vous dans l’aventure des verbes composés !
Si vous souhaitez également maîtriser les règles de grammaire allemande comme Tom, commencez par télécharger les fiches de révision gratuites et tenez-vous au courant des prochaines étapes pour atteindre votre objectif.
Das Abenteuer mit den zusammengesetzten Verben (L’aventure avec les verbes composés)
Es war einmal ein junger Mann namens Tom (Il était une fois un jeune homme nommé Tom), der sich entschied, Deutsch zu lernen (qui décida d’apprendre l’allemand). Eines Tages fand er ein altes Grammatikbuch in der Bibliothek (Un jour, il trouva un vieux livre de grammaire à la bibliothèque). Aufgeregt nahm er es mit nach Hause und begann zu lesen (Excité, il l’emporta chez lui et commença à lire). Schon bald stieß er auf zusammengesetzte Verben und wollte herausfinden, wie man sie richtig verwendet (Bientôt, il tomba sur des verbes composés et voulut découvrir comment les utiliser correctement).
Der erste Fund: „abholen“ (La première découverte : « abholen »)
Tom las den Satz: „Ich werde dich vom Bahnhof abholen“ (Tom lut la phrase : « Je viendrai te chercher à la gare »). Er erinnerte sich an die Handlungsanweisung, die er gelernt hatte (Il se souvint de l’instruction qu’il avait apprise).
- Identifizieren: Er fand das Präfix „ab“ und das Verb „holen“ (Identifier : Il trouva le préfixe « ab » et le verbe « holen »).
- Bedeutung prüfen: „ab“ (départ) + „holen“ (chercher) = „abholen“ (venir chercher) (Vérifier la signification : « ab » (départ) + « holen » (chercher) = « abholen » (venir chercher)).
- Nachschlagen: Tom schlug im Wörterbuch nach und sah, dass „abholen“ ein trennbares Verb ist (Consulter : Tom consulta le dictionnaire et vit que « abholen » est un verbe séparable).
- Präsens und Präteritum anwenden: (Appliquer au présent et au prétérit)
- Präsens: „Ich hole dich vom Bahnhof ab“ (Présent : « Je viens te chercher à la gare »).
- Präteritum: „Ich holte dich vom Bahnhof ab“ (Prétérit : « Je suis venu te chercher à la gare »).
Tom freute sich, dass er das erste zusammengesetzte Verb richtig angewendet hatte (Tom était content d’avoir correctement utilisé son premier verbe composé).
Der zweite Fund: „verstehen“ (La deuxième découverte : « verstehen »)
Am nächsten Tag las Tom einen anderen Satz: „Ich verstehe dich“ (Le lendemain, Tom lut une autre phrase : « Je te comprends »). Er wiederholte die Schritte, um sicherzustellen, dass er alles richtig machte (Il répéta les étapes pour s’assurer qu’il faisait tout correctement).
- Identifizieren: Er fand das Präfix „ver“ und das Verb „stehen“ (Identifier : Il trouva le préfixe « ver » et le verbe « stehen »).
- Bedeutung prüfen: „ver“ + „stehen“ = „verstehen“ (comprendre) (Vérifier la signification : « ver » + « stehen » = « verstehen » (comprendre)).
- Nachschlagen: Im Wörterbuch fand Tom heraus, dass „verstehen“ ein nicht trennbares Verb ist (Consulter : Dans le dictionnaire, Tom découvrit que « verstehen » est un verbe non séparable).
- Nicht trennbare Verben anwenden: (Appliquer les verbes non séparables)
- Präsens: „Ich verstehe dich“ (Présent : « Je te comprends »).
- Perfekt: „Ich habe dich verstanden“ (Parfait : « Je t’ai compris »).
Wieder war Tom froh, dass er alles richtig gemacht hatte (Tom était de nouveau content d’avoir tout fait correctement).
Der dritte Fund: „aufstehen“ (La troisième découverte : « aufstehen »)
Am Wochenende fand Tom den Satz: „Ich werde früh aufstehen“ (Le week-end, Tom trouva la phrase : « Je me lèverai tôt »). Er ging erneut die Schritte durch (Il répéta de nouveau les étapes).
- Identifizieren: Das Präfix „auf“ und das Verb „stehen“ (Identifier : Le préfixe « auf » et le verbe « stehen »).
- Bedeutung prüfen: „auf“ (debout) + „stehen“ (se lever) = „aufstehen“ (se lever) (Vérifier la signification : « auf » (debout) + « stehen » (se lever) = « aufstehen » (se lever)).
- Nachschlagen: Das Wörterbuch zeigte, dass „aufstehen“ ein trennbares Verb ist (Consulter : Le dictionnaire montra que « aufstehen » est un verbe séparable).
- Präsens und Präteritum anwenden: (Appliquer au présent et au prétérit)
- Präsens: „Ich stehe früh auf“ (Présent : « Je me lève tôt »).
- Präteritum: „Ich stand früh auf“ (Prétérit : « Je me suis levé tôt »).
Tom fühlte sich immer sicherer im Umgang mit trennbaren und nicht trennbaren Verben (Tom se sentait de plus en plus sûr de lui avec les verbes séparables et non séparables).
Der vierte Fund: „bestellen“ (La quatrième découverte : « bestellen »)
Eines Abends las Tom: „Ich bestelle eine Pizza“ (Un soir, Tom lut : « Je commande une pizza »). Er wiederholte die Schritte (Il répéta les étapes).
- Identifizieren: Das Präfix „be“ und das Verb „stellen“ (Identifier : Le préfixe « be » et le verbe « stellen »).
- Bedeutung prüfen: „be“ + „stellen“ = „bestellen“ (commander) (Vérifier la signification : « be » + « stellen » = « bestellen » (commander)).
- Nachschlagen: Im Wörterbuch fand Tom heraus, dass „bestellen“ ein nicht trennbares Verb ist (Consulter : Dans le dictionnaire, Tom découvrit que « bestellen » est un verbe non séparable).
- Nicht trennbare Verben anwenden: (Appliquer les verbes non séparables)
- Präsens: „Ich bestelle eine Pizza“ (Présent : « Je commande une pizza »).
- Perfekt: „Ich habe eine Pizza bestellt“ (Parfait : « J’ai commandé une pizza »).
Tom war stolz auf sich, dass er jedes zusammengesetzte Verb korrekt identifizieren und anwenden konnte (Tom était fier de lui d’avoir pu correctement identifier et utiliser chaque verbe composé).
Fazit (Conclusion)
Tom hatte eine spannende Woche, in der er viel über trennbare und nicht trennbare Verben gelernt hatte (Tom a passé une semaine passionnante, durant laquelle il a beaucoup appris sur les verbes séparables et non séparables). Mit jeder neuen Entdeckung wurde er sicherer und freute sich, dass er Deutsch immer besser verstand (Avec chaque nouvelle découverte, il devenait plus sûr de lui et se réjouissait de mieux comprendre l’allemand). Seine Abenteuer mit der deutschen Grammatik machten ihm nicht nur Spaß, sondern halfen ihm auch, die Sprache besser zu beherrschen (Ses aventures avec la grammaire allemande ne lui ont pas seulement fait plaisir, mais l’ont également aidé à mieux maîtriser la langue).
Und so setzte Tom seine Reise durch die deutsche Sprache fort, immer bereit, neue zusammengesetzte Verben zu entdecken und zu meistern (Ainsi, Tom poursuivit son voyage à travers la langue allemande, toujours prêt à découvrir et à maîtriser de nouveaux verbes composés).
Das Abenteuer mit den zusammengesetzten Verben
Es war einmal ein junger Mann namens Tom, der sich entschied, Deutsch zu lernen. Eines Tages fand er ein altes Grammatikbuch in der Bibliothek. Aufgeregt nahm er es mit nach Hause und begann zu lesen. Schon bald stieß er auf zusammengesetzte Verben und wollte herausfinden, wie man sie richtig verwendet.
Der erste Fund: „abholen“
Tom las den Satz: „Ich werde dich vom Bahnhof abholen.“ Er erinnerte sich an die Handlungsanweisung, die er gelernt hatte.
- Identifizieren: Er fand das Präfix „ab“ und das Verb „holen“.
- Bedeutung prüfen: „ab“ (weg) + „holen“ (holen) = „abholen“ (to pick up).
- Nachschlagen: Tom schlug im Wörterbuch nach und sah, dass „abholen“ ein trennbares Verb ist.
- Präsens und Präteritum anwenden:
- Präsens: „Ich hole dich vom Bahnhof ab.“
- Präteritum: „Ich holte dich vom Bahnhof ab.“
Tom freute sich, dass er das erste zusammengesetzte Verb richtig angewendet hatte.
Der zweite Fund: „verstehen“
Am nächsten Tag las Tom einen anderen Satz: „Ich verstehe dich.“ Er wiederholte die Schritte, um sicherzustellen, dass er alles richtig machte.
- Identifizieren: Er fand das Präfix „ver“ und das Verb „stehen“.
- Bedeutung prüfen: „ver“ + „stehen“ = „verstehen“ (to understand).
- Nachschlagen: Im Wörterbuch fand Tom heraus, dass „verstehen“ ein nicht trennbares Verb ist.
- Nicht trennbare Verben anwenden:
- Präsens: „Ich verstehe dich.“
- Perfekt: „Ich habe dich verstanden.“
Wieder war Tom froh, dass er alles richtig gemacht hatte.
Der dritte Fund: „aufstehen“
Am Wochenende fand Tom den Satz: „Ich werde früh aufstehen.“ Er ging erneut die Schritte durch.
- Identifizieren: Das Präfix „auf“ und das Verb „stehen“.
- Bedeutung prüfen: „auf“ (auf) + „stehen“ (stehen) = „aufstehen“ (to get up).
- Nachschlagen: Das Wörterbuch zeigte, dass „aufstehen“ ein trennbares Verb ist.
- Präsens und Präteritum anwenden:
- Präsens: „Ich stehe früh auf.“
- Präteritum: „Ich stand früh auf.“
Tom fühlte sich immer sicherer im Umgang mit trennbaren und nicht trennbaren Verben.
Der vierte Fund: „bestellen“
Eines Abends las Tom: „Ich bestelle eine Pizza.“ Er wiederholte die Schritte.
- Identifizieren: Das Präfix „be“ und das Verb „stellen“.
- Bedeutung prüfen: „be“ + „stellen“ = „bestellen“ (to order).
- Nachschlagen: Im Wörterbuch fand Tom heraus, dass „bestellen“ ein nicht trennbares Verb ist.
- Nicht trennbare Verben anwenden:
- Präsens: „Ich bestelle eine Pizza.“
- Perfekt: „Ich habe eine Pizza bestellt.“
Tom war stolz auf sich, dass er jedes zusammengesetzte Verb korrekt identifizieren und anwenden konnte.
Merci beaucoup pour votre blog. J’ai lu les pages d’introduction et elles m’ont bien intéressé!
Quand j’étais collégien et lycéen, j’ai appris l’allemand en seconde langue vivante. J’ai beaucoup aimé cette langue que je trouvais très structurée et rigoureuse. Ce qui correspondait à ma personnalité cognitive.
C’est donc avec grand plaisir que je reviendrai sur votre blog. Vos articles me rappelleront des souvenirs. Et me donneront, comme le présent article, le plaisir de renouer avec cette langue. Avec un oeil nouveau, celui de la pédagogie des gestes mentaux.
Merci pour cet article. Il propose des règles de conjugaison à travers un personnage et son histoire, ce qui est plaisant.
Si je voulais être tâtillon, je dirai que dans votre mode opératoire, l’étape de compréhension du sens du verbe n’est pas nécessaire. Du moins si l’objectif est de pouvoir conjuguer un verbe selon qu’il intègre un préfixe séparable ou inséparable. Ce qui semble l’objectif visé.
Pourquoi cette remarque qui semble couper les cheveux en quatre? Parce qu’en gestion mentale, le geste de réflexion que pratique Tom doit faire l’objet d’un « projet de sens » de la part de l’apprenant. Ici, le projet de sens est de conjuguer le verbe au présent et au prétérit. Les moyens de conduire ce projet, entre autres, sont de faire appel à des règles. Celles que vous avez mentionnées. Mais j’y ôterai l’étape de la compréhension. Pour plus de performance.
Qu’en pensez-vous?
Au plaisir de vous lire.
C’est une réflexion intéressante et je vous en remercie.
Je suis d’accord avec vous pour dire que pour apprendre et s’entraîner à appliquer une règle ou un principe de grammaire, il n’est pas nécessaire d’en comprendre le contenu, ce qui, dans un certain sens, peut même détourner l’attention de l’objectif, qui serait de maîtriser cette règle de la manière la plus automatique possible afin de ne pas s’embrouiller. C’est d’ailleurs ce que l’on retrouve dans la plupart des manuels d’apprentissage des langues étrangères.
Mais c’est aussi un point qui m’a toujours frustré lorsque j’ai eu à faire des exercices de grammaire, et plus récemment de grammaire russe. Formuler des phrases correctes sans en connaître le sens m’a toujours laissé sur ma faim, et j’ai passé beaucoup de temps à essayer de comprendre le sens des mots inconnus contenus dans ces exercices de grammaire présentés hors de tout contexte narratif.
Je suis tout à fait d’accord que, d’un point de vue cartésien, il n’est pas nécessaire de savoir ce que l’on dit tant que l’on parvient à appliquer correctement la règle que l’on apprend, mais pour moi, l’apprentissage d’une langue ne se limite pas à la maîtrise de sa grammaire si l’on n’est pas capable d’utiliser cette langue par la suite, comme c’est trop souvent le cas pour ceux qui obtiennent même d’excellentes notes dans leurs cours de langues étrangères.
Je sais bien que la grande majorité des manuels de langues actuellement disponibles suivent une pédagogie différente, mais pour me consoler, je sais aussi que la plupart de leurs auteurs ne savent pas s’exprimer dans une dizaine de langues.
Merci pour votre retour.
En fait, ce que je voulais mettre en lumière, c’est la notion de projet de sens, et la notion de structure de projet de sens, deux locutions techniques relevant de la pédagogie des gestes mentaux.
Le projet de sens du geste de réflexion, c’est-à-dire la finalité de ce geste, c’est de trouver une solution à une question ou à un problème, en faisant appel à des règles.
Cette finalité doit être servie par des moyens. Et c’est là où l’on retrouve le sujet de discussion que j’ai ouvert. Ces moyens renvoient à la notion de structure de projet de sens. Ce qui fait vibrer l’individu quand il va chercher à atteindre la finalité de son geste mental (ici, le geste de réflexion correspond à la conjugaison au présent et au prétérit des verbes à préfixe séparable et des verbes à préfixe inséparable). Chaque individu nourrit sa ou ses propres structures de projet de sens. C’est-à-dire que pour atteindre une finalité, il va mettre en oeuvre une activité cognitive qui le fait vibrer. Pour certains, comme vous probablement, ce qui les fait vibrer, c’est de comprendre et de communiquer. En accomplissant le geste de réflexion, ils vont donc chercher le sens du verbe (l’objet de notre discussion). Ce n’est pas strictement nécessaire, mais comme c’est important pour eux, il vont chercher ce sens.
Pour d’autres, ce qui les fait vibrer, c’est la structure de projet de sens « découvreur ». En gestion mentale, une structure de projet de sens « découvreur » se caractérise par une quête de vérité cachée. Les individus qui adoptent ce projet de sens cherchent à découvrir ce qui est présent mais non apparent dans le connu. Leur démarche implique de formuler des hypothèses basées sur leurs connaissances actuelles et d’explorer les signes d’une présence cachée. Face à un verbe, ils vont prendre plaisir à chercher la présence d’un préfixe séparable ou inséparable.
Pour d’autres encore, ce sera à la fois de comprendre, et de chercher une présence cachée.
Il y a également ceux pour lesquels ce sera encore autre chose qui les fera vibrer.
Ce que je veux dire, c’est que chacun a sa façon qui lui est personnelle d’accomplir le geste de réflexion. Celui, comme vous, qui accomplit ce geste en cherchant du sens, arrivera à communiquer en langue étrangère. Pour d’autres, les habitudes cognitives contractées ne permettront pas toujours de conduire une conversation en langue étrangère, ou de comprendre un interlocuteur dans cette langue étrangère. La pédagogie des gestes mentaux vise à faire prendre conscience à l’apprenant du lien entre ses habitudes cognitives et le résultat auquel elles conduisent. Pour lui proposer une autre habitude cognitive, plus adaptée à ce qui est recherché (communiquer en langue étrangère).
Voilà, j’ai été un peu long, mais cela m’a fait plaisir d’apporter ces précisions. Car au fond, je suis d’accord avec vous 😉
Je vous remercie pour ces éclaircissements qui rendent les choses plus faciles à comprendre.
En même temps, elles me rappellent qu’il existe différentes manières d’apprendre selon les personnes, comme l’explique David Allen Kolb, par exemple, qui a identifié quatre manières différentes.
Merci pour cette référence à David Allen Kolb.
Il me semble que son approche et celle d’Antoine de la Garanderie (pédagogie des gestes mentaux) se rejoignent dans la reconnaissance de variations individuelles dans l’apprentissage.
Il serait intéressant d’analyser ce qui sépare ces deux approches.